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il y a 6 ans
Je suis Samia, soumise de Maître Franck, je suis en cours de dressage et je veux être dressée en objet de sexe afin de faire de moi une vicieuse facile et fière de l’être. Je vais vous raconter ma première rencontre avec Maître Franck. Au début, la relation avec Maître Franck n’était que virtuelle, puis très vite on a commencé à parler d’une rencontre.
Plusieurs dates ont été proposées mais c’est celle du jeudi dans l’après midi qui a été retenue. Le seul souci était que j’avais cours le matin. Mais j’ai quand même réussi à me débrouiller pour pouvoir être présente. Maître Franck pensait que je ne viendrais pas mais quelle honte ça aurait été pour moi ! Je m’en serais voulu ! Maître Franck m’avait demandé de lui envoyé un SMS le matin du jour J. C’est donc ce que j’ai fait aux alentours des 10h30.
Je m’étais habillée pour faire plaisir à mon Maître en jupe, string, porte jarretelles et bas noirs.
Je n’ai pas arrêté de penser à ce qui allait m’arriver pendant toute la matinée et même la veille en allant me coucher.
A la fin des cours j’avais demandé à mon beau père de m’amener à l’hôtel convenu pour notre rencontre en lui prétextant qu’une amie qui habitait près de l’hôtel voulait me voir. J’étais dans un état d’excitation hallucinant et j’avais aussi peur que mon beau père découvre la supercherie. Mais tout s’est bien déroulé, à part le fait que nous avions du retard.
Quand mon beau père m’a déposé devant l’hôtel, je me suis vue là toute seule en jupe et talons, au beau milieu de nulle part, et je me suis rappelé que j’allais pour la première fois tenter l’expérience avec quelqu’un qu’en plus que je n’avais jamais rencontré. J’ai eu une montée énorme d’adrénaline. Arrivée en bas de l’hôtel j’ai envoyé un SMS à mon Maître pour le prévenir que je montais pour qu’il puisse se préparer, puisqu’on avait imaginé un scénario d’enlèvement. Il m’avait indiqué le numéro de la chambre et comment y aller dans un précédent SMS. Je suis donc montée à l’étage indiqué, le premier, et je suis arrivée devant la chambre, la 212.
Tout à l’heure je vous parlais d’une montée d’adrénaline, mais là une petite voix en moi me disait aussi : mais qu’est-ce que tu fais là ? Va-t-en il en est encore temps ! Mais aussi je me disais que si je ne le faisait pas je le regretterai toute ma vie (ou presque), surtout que j’avais dit à mon Maître que je venais, et je n’osais même pas imaginer sa réaction si j’annulais à la dernière seconde. Je ne voulais pas courir le risque qu’il ne me parle plus, j’avais réussi à lui donner ma confiance, je ne voulais pas tout recommencer avec un autre.
Quelques secondes plus tard, j’ai pris une grande inspiration et je suis entrée d’un pas plus ou moins décidé. J’ai refermé la porte derrière moi et j’ai continué à avancer dans la chambre, et c’est là que j’ai vu tout ce que mon Maître avait préparé. Il y avait une chaîne accrochée à la table et tout plein de sac qui ne dévoilaient pas encore leur contenu. J’ai posé mon sac par terre et c’est là que senti quelque chose derrière moi ou plutôt quelqu’un. Maître Franck m’a alors empoignée et m’a mise sur le lit, sur le ventre. Il a alors attrapé des menottes et a refermé la première boucle sur l’un des poignets, lentement, pour bien ressentir l’excitation de ce moment. Puis la deuxième boucle fut fermée et m’a ainsi rendue prisonnière, au moins en ce qui concerne les bras. Il m’a ensuite demandé de me décaler, et je vous avoue qu’au début je me suis demandé pourquoi, puis c’est alors que j’ai compris : il était en train de m’attacher les chevilles également. La chaîne des chevilles étant elle-même reliée à la chaîne attachée à la table.
Donc même dans le cas où j’avais voulu fuir il m’en était impossible. J’étais totalement à sa merci. Tout en m’attachant il commençait à me caresser les mollets, les cuisses puis rapidement les fesses. J’ai ensuite entendu qu’il cherchait quelque chose dans un des sacs. Puis il est revenu avec un bâillon qu’il avait tout spécialement acheté pour moi. Quand je l’ai vu j’ai eu trois réactions : d’abord je me suis dit : tu t’imagines, ça y est tu l’as ton bâillon (car j’en avais vraiment envie), mais après je me suis dit qu’est-ce qu’il va me faire après une fois que tu auras ça dans la bouche, tu ne pourras plus parler. Ensuite j’ai pensé au fait que j’allais baver avec et je me suis alors demandé comment mon Maître réagirait si je bavais. Il me l’a mis dans la bouche, me l’a attaché et est reparti fouiller dans les sacs. Cette fois-ci il est revenu avec un collier d’esclave relié à une laisse. Il m’a dit que je serais une vraie chienne avec ce collier, je me suis dit que oui j’étais une chienne pour faire ce que je faisais à ce moment-là. Il m’a donc aussi mis le collier. Et c’est là que je me suis vraiment dit : là ma fille tu es totalement impuissante. Il a continué à me caresser les fesses et les cuisses et a commencé à prendre des photos, après m’avoir imposé une position de contrainte à plat ventre, les genoux remontés vers la poitrine, pour bien faire sortir les fesses. C’était l’une des premières positions que Maître Franck m’avait apprise. Après un bon et long moment d’attente (même entre les pauses afin de bien me faire comprendre que je ne contrôlais plus rien et pour accentuer le sentiment d’enlèvement), il m’a fait m’asseoir sur le lit et a changé mes bas afin que je ne rentre pas avec des bas troués à causes des menottes ou plus tard des fers médiévaux.
Il m’a pris par la laisse qui était reliée au collier que je portais toujours, et m’a fait marcher menottes au chevilles et aux poignets, le tout relié à une ceinture de chaîne. Mais après quelques allers-retours je me suis aperçue que l’une des chevilles me faisait mal. Je l’ai dit à mon Maître qui a essayé d’arranger la situation, mais rien n’y faisait. Je vous jure Maître je ne l’ai pas fait exprès. On a donc dû abandonner cette partie. Il s’est mis à me caresser les seins et j’ai prit un énorme plaisir et mon Maître m’a dit que j’étais une salope parce qu’il suffisait de me caresser les seins pour que j’arrête de me plaindre mais, une fois encore Maître, ce n’était pas volontaire mais je m’en excuse quand même.
Il m’a mis un bandeau sur les yeux et m’a tendu une feuille de papier sur laquelle je savais qu’il y avait écrit quelque chose du genre « je suis une truie » mais je ne savais pas précisément ce qui y était écrit et cela m’excitait. Je su plus tard que c’était une excitation sûrement due à la honte que j’éprouvais d’être ainsi exhibée. Il a pris plusieurs photos avec cadrages différents et à chaque changement mon excitation grandissait. Il a enlevé mon bandeau.
Ensuite, il m’a fait m’asseoir par terre pour me donner à manger comme prévu. Ce fut alors une moment très excitant. J’ai eu pour déjeuner une crème dessert au chocolat qu’il me donnait bien sûr à la cuillère, puis il a mis (après m’avoir caressé le visage) son doigt dans ma bouche afin que je suce. Mais comme je suis encore une débutante dans ce genre de pratique, je ne l’ai pas fait correctement, et mon Maître m’a gentiment dit comment il fallait faire pour que ce soit le plus agréable possible. J’ai donc exécuté les conseils avec beaucoup de plaisir. Puis il m’a demandé si j’avais soif je lui ai dit que oui. Il est alors allé me chercher un verre d’eau mais ne croyez pas que je l’ai bu comme tout le monde. Non, le verre n’est pas pour une chienne comme moi !
Il a donc versé le contenu du verre dans un grand plat et m’a dit de laper le liquide comme la chienne que j’étais. C’était assez excitant. Il a ensuite enlevé l’eau et m’a demandé de me remettre dans la même position afin qu’il puisse prendre des photos. Il a enlevé mon haut et ma jupe. J’étais trempée d’excitation.
Il a sorti devant moi les fers médiévaux. Rien que de les voir, mon excitation est encore montée d’un cran. Il m’a dit de m’allonger sur le lit et a enlevé mon soutien-gorge. J’étais alors nue comme un ver et j’allais être parée de magnifiques fers médiévaux. Quand il a voulu mettre les menottes aux poignets, il s’est aperçu que c’était presque trop grand, mais heureusement, mon Maître avait tout prévu. Il m’a mis des espèces de tours de poignet assez épais qui m’ôtaient déjà une certaine mobilité. Ensuite il a refermé les menottes avec des cadenas et a terminé par le collier, lourd comme tout le reste de la parure. Je savais alors que le moment que j’attendais le plus était en train d’arriver. Ce qui fit encore monter mon excitation.
Mon Maître a alors commencé à me caresser les cuisses les seins, à me les mordiller et me les sucer. Puis a sorti un vibromasseur et un préservatif. Et là je vous avoue que j’ai eu peur, malgré toute la confiance que je porte à mon Maître, je me suis dis que parée comme j’étais, il pouvait me faire ce qu’il voulait malgré les conditions qui avaient été posées auparavant. Mais mon Maître m’a de suite rassurée en me disant que c’était juste pour le vibromasseur. Quel soulagement !
Il a donc commencé à balader l’objet vibrant autour de mon clitoris, pour faire monter l’excitation petit à petit. Puis quand ma chatte devenait de plus en plus mouillée, il m’a demandé s’il pouvait continuer et je lui ai donné mon accord. J’ai alors su que je ne craignais rien.
Puis ce que j’attendais le plus est enfin arrivé. Il a mis tout doucement ça tête entre mes jambes et a commencé à me lécher les alentours du clitoris. Ma respiration accélérait et l’excitation est encore montée d’un cran quand de temps en temps, il venait me sucer ou mordiller les tétons. Rien que d’en parler, l’émotion monte encore. Alors que ma respiration continuait d’accélérer, les battements de mon cœur la suivaient. C’est après un bon moment, au sens propre, autant qu’au figuré, que c’est monté, j’ai eu un orgasme hallucinant, d’abord parce que c’était le premier grâce à une autre personne et ensuite parce qu’il était super impressionnant.
Ensuite il m’a demandé s’il voulait que je continue et je lui ai dit oui. Mais d’un coup ça ne faisait plus autant de bien que précédemment, je dirais même que ça me faisait mal. Mais je n’ai pas osé le lui dire et quand il s’est aperçu que je ne ressentais pas la même chose qu’avant il m’a dit que je devais absolument lui confier ce que je ressentais et je lui ai alors avoué. Il a arrêté. Et enfin, il a regardé sa montre et a dit que c’était fini. Je ne pouvais pas y croire. C’était fini ? Comment cela pouvait être fini ? Il avait prévu pour moi une punition : cinq coups de fouet pour ne pas m’être présenté, lors de l’une de nos conversations sur internet et cinq autres pour être arrivée en retard. Je n’y avais eu le droit. Mais il était 17 heures et je devais rentrer. Il m’a donc détachée, je lui ai demandé si je pouvais aller aux toilettes et il m’a dit que oui. Je n’en revenais pas, j’étais à la fois excitée et surprise de l’avoir fait mais j’étais aussi frustrée que la séance soit finie.
Une fois rhabillée et les affaires rangées dans le sac, mon Maître m’a ramené en voiture jusqu’à chez moi, pas de soucis quant à la réaction de mes parents s’ils me voyaient car je leur avais dit que c’était le père de la copine que j’allais voir qui devait me ramener. Le soir je me suis repassée toute la séance et je n’ai pas pu m’empêcher de me masturber.
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